dans le joue à joue miroirique d'un visage de femme
c'est
l'entrée comme en plongée dans les turbulences calmes des zones marines de leurs cheveux spontanés
et
vers les yeux la lueur étrange et pénétrante si douce comme une vache des hauteurs de tout ce qui dans les hauteurs n'est pas projecteur ou flashes braqués
yeux comme la nudité solitaire des peaux dans les toiles de de la Tour
une délicate bien que brutale timidité haptique tremblant comme une larme éprise
et
toute l'enfance orange des lèvres dont on réalise alors l'unique raison d'être
taire vaut mieux les promesses de chaque cil chaque sourcil
et
la fine vaporisation du souffle tel une petite fille s'apprêtant à danser.
Sans Titre 3
par Flora Tahavi