l'air pincé meurtrières à coups d'eustache
l'air l'air cyan sans morsures de l'ivoire
ce bien précieux en bouche
beaucoup de cran d'ailes de lait d'enfant
l'ongle peint d'un pas
d'une main le vol fixe l'ombre blanche
neige de la métacarpe elle crisse son cri
son regard bleu profond de kriss dans le lin
l'or cru du sang dans le mur le murmure des singes et l'été haut des carpes du rio
tahavi entrevoit l'horreur d'un e amuï
le corps éclaireur d'une mère
son trémor dans la nuit
ses lèvres grises de nuages
nuages où
où
boivent les loups
Au sujet de Flora Tahavi
A Propos
On est encore là.
Je vis sur l'Ile de la réunion.
Autrement dit, en plein flot permanent.
Et je vous aime.
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017