Où mène ce chemin
qu’on suit depuis toujours ?
Il mène au lendemain
et s’oppose au retour.
C’est là que le bonheur
est l’objet d’une quête
et que le promeneur
mendie d’être poète.
J’y fais aussi la manche,
à l’affût d’autres vers :
c’est pour ma page blanche...
pour y voir à travers.
Extrait de:
POEMES TRADUITS DU SILENCE (http://enmotdiese.free.fr/a_auteurs.htm#martineau_traduitsdusilence)