Plus sournois qu'un regard, mon silence l'outrage
L'odeur te fait mourir de mon désir tapi.
Ton corps est violé dans mon cœur, sans répit.
Promédiée envieux du feu de ton visage,
Je le vole à toute heure et rien ne me trahit.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012