Le printemps triste éteint la dernière flambée.
Un souvenir saignant dans ma chair s'est rouvert.
Que je retrouve en vous le repos de l'hiver
Avec l'amère odeur des larmes dérobées,
O nuit de mes deux mains contre le lit désert !
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012