Poèmes

Atys Vient

par François Mauriac

François Mauriac

L'herbe déjà se creuse où l'enfant s'étendra.
Le voici !
Des vivants qui s'agitent sur elle
Cybèle ne sent rien que ce corps infidèle
Qui gémit et qui souffre en d'invisibles bras.



Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012

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