pour
Christiane
Par les nuits d'herbes, étalées sur les vieux pays
Des landes, hélant comme une biche la kermesse
Du printemps, l'appelant magicienne du récit
Céleste et notre reine et
Pécartelée d'espace ;
Par les nuits, qui soudain crèverait sa fête humaine
Et d'un râle manquerait le mot vertigineux
Du temps, nous guetterait telles, nues, mêlées aux
lianes
Lactées, soumises sans croire au cerne de nos vœux.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012