Ton vœu qui répugne à l'aisance d'une trame
appauvrie,
Balance entre deux morts.
Les marges se resserrent autour de ton lingot aride
Et déjà, le dernier refuge, le feuillage, flambe,
O ma parole en perte pure,
Ma parole semblable à la rétraction d'une aile extrême sur la mer!
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012