Ta faucille lasse le ciel.
Pour que lève le pain de chaque nuit
Tu veilles au désordre.
Tu titubes dans l'équivalence des règnes.
Du volcan à la mer
D'autres dénombreront les degrés.
Hâte-toi de reconduire le fer
Ivre de son battement,
D'extraire d'un bol de boue ton territoire
Mais en surplomb au-dessus de l'affluence
Des gisants et des nombres
Comme la pythie sur son gril.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012