Sur le chemin des douaniers un portail poussé de granit ouvre une allée du vide
Plus de mer
Les mouettes picorent l'hiver d'anciens laboure le soc enfouit l'étrave, et la brume le sel
Reste la mémoire de la peau qui écrêtait les vagues: elle rend son relief à l'écorce retrouve la méfiance du gel
En bas, l'écume seule, face aux débris
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012