Poèmes

Psiliamou

par Jean Orizet

Vieux sable aux cheveux blancs de varech, imprévu parmi tant d'à-pics, devenu lit de purification pour les corps qui se dénudaient.

Parce que la mer était puissante, nos poitrines, nos bras, nos sexes,

connurent, grain par grain, la poigne de son sel.

Ici, parce que la mer est puissante, la possession dans le silence ne pourra se faire qu'après.



Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012

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