Pour lui, être vivant, c'est d'abord consommer, qu'on le désire ou non.
Le cœur est un service, et l'âme un emballage : il les vend, les achète ou les troque parfois pour d'autres fournitures.
«
Un ouvrier vaut cent fois moins qu'une machine », déclare-t-il en construisant un hôpital où le peuple pourra guérir toute pensée puisqu'elle constitue - c'est un
malheur fréquent -
sa pire maladie.
Battre la concurrence, en assurant à chaque travailleur la joie dans la sécurité, au besoin par la force,
n'est-ce pas méritoire ?
Un cerveau bien réglé rapporte plus d'argent qu'un stock de marchandises.
Il ouvre à sa conscience une ou deux succursales.
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012