Poèmes

Marronnier I

par Jean Orizet

Derrière moi, le marronnier a les mains d'un vieillard dont les racines soulèvent la maison

Pour cela, il fut condamné puis sauvé par le gong de la patience

Il a vu partir le vieux de l'ancienne ferme il me verra partir, peut-être, avec son copain le château d'eau, et la maison continuera de monter vers les cris d'enfants

taches solaires

de notre exploration si fuyante



Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012

Lettre d'Informations

Abonnez-vous à notre lettre d'information mensuelle pour être tenu au courant de l'actualité de Poemes.co chaque début de mois.

Nous Suivre sur

Retour au Top