Derrière moi, le marronnier a les mains d'un vieillard dont les racines soulèvent la maison
Pour cela, il fut condamné puis sauvé par le gong de la patience
Il a vu partir le vieux de l'ancienne ferme il me verra partir, peut-être, avec son copain le château d'eau, et la maison continuera de monter vers les cris d'enfants
taches solaires
de notre exploration si fuyante
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012