Tonneau que roulent sur la terre des nuits
Les féroces dieux inventés par les hommes,
Il s'en écoule un vin âpre qui tache les cours,
Dont s'enivre le mauvais larron qui jure.
O petit enfant encore invaincu,
Cherche l'esquif et vogue à l'enfance.
Le
Seigneur est venu lui-même, dévêtu,
Arracher Œdipe aux souffrances.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012