Ma méditation ton manteau se consument
Pour te perdre mieux
Ou te mordre blanche.
La tour délivrée de son lierre croule.
La terreur conduit sous terre ma semence,
L'éclairé et la refroidit.
J'attends la déflagration.
Et je tutoie les morts, les nouveaux venus.
Celle que j'aime est dans leur camp,
Fourche, flamme et minerai.
Le sang qui brille sur la page de garde
Ne sera jamais le sien.
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017