Cette boue sécharal A Ja fêlure de la jarre, au tressaillement de ma douleur dans sa gangue, je sais que revient le vent...
Le vent qui disperse et le vent qui rassemble, l'inintelligible, le vivant! Nous ne dormirons plus. Nous ne cesserons plus de voir. De pourvoir le feu.
Obscur horizon! Seule brûle la tranche d'un livre, — quand je me détourne.
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017