Poèmes

Hors du Monde

par Fernand Ouellette

Fernand Ouellette

La fauvette que frappe le vertige,
trace des festons en quittant l'arbre.

Ici la vie se maintient
sur la pointe de la mort.
Le mépris pour les murs!
Le grésillement des regards
avant de s'éteindre...

{Tant de bleu naguère sur l'épaule
de femmes franches qui traversent l'oreille
avec le son de Vermeer.)

Tous les paysages se ferment,
ou explosent dans la mémoire,
ou s'épandent par les brouillards.
Même la montagne se renverse
en ta mer pour ne plus rien entendre.



Poème publié et mis à jour le: 18 May 2025

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