Ce que j'en ai changé de croix ! tant de bonheurs et de bourrasques.
Va-et-vient, paniers à salades.
Ah !
Mes vaisseaux quittons ces vasques versons l'amour en d'autres rades.
Il n'est de pires galéjades que celles où soi-même l'on croit changez votre souffrance en joie changez vos bonheurs en souffrances.
Ris voire un peu de tes déboires es-tu ou n'es-tu pas la poire ?
Il suffit d'étudier le truc.
Qu'importe au ventre l'intendance n'es-tu pas plus fort que le
Turc ?
Gloire ou non me fait rire aux larmes larmes de rires, rire à pleurer.
Mesdames, rien ne peut me leurrer sur les prix d'esprit et de charmes.
Tournez ! tournons ! tournons autour des sacs, des moutons, des vautours des pigeons, l'aurore et le jour.
L'amour, quoi ! c'est la volupté mise à la sauce du lyrisme l'amour vase d'iniquité.
Mais,
Vous,
Jésus, vous êtes l'isthme sur le cosmique rhumatisme sur le néant des océans sur les océans de néant.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012