L'autocar est à midi et demi.
Ils sont tous couchés.
Cloisons à cloisons, chambre à chambre.
Le grand est si long qu'on se demande comment il se relève.
Quand il est couché dans le jardin c'est comme une ligne d'écriture au travers d'un tableau.
On déjeune dans le garage.
II semble qu'on soit fâché avec moi.
Le regard courroucé de la dame au-dessus des arbustes et l'humidité de la porte cochère quand je vais prendre l'autocar tout seul avec ma valise trop lourde.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012