Dieu l'Immortel est comme un miroir neuf
Son
Fils
Jésus est aussi beau que
Lui :
De ce
Parfait chacun de nous est veuf entre naissance et la mort de l'oubli.
Dans les siècles, dans les siècles des hommes les plus savants prédirent le miracle.
Ce
Dieu miroir choisira son royaume
sur les charniers posera son pied nu
et restera pour tous aux
Tabernacles.
Jésus miroir !
Il viendra en
Judée
pour nous parler, nous aimer, nous aider
avec
Le
Sang,
Intelligence
Première
le
Gras de
Peau qui du monde est l'Esprit.
Ainsi viendra le
Seigneur
Jésus-Christ.
«
Moi ! me
Voici ! saignez
Dieu
Votre
Père
et mangez-Le donné par mes vicaires. »
Le
Sang de
Dieu s'envola du calvaire.
D'Arimathie dont le nom est
Joseph,
témoin, gardien et qui l'ensevelit
garde le
Sang raclé du crucifix.
Seigneur
Petrus ravit le vase en nef
chez les
Romains par l'empereur lépreux.
Arimathie, c'est le connu
Joseph.
A son neveu
Petrus qui part en nef
donne le vase où la manne rayonne.
Or en
Courlande ou le
Gall d'Angleterre
au château d'If sur le mont
Célestin
quand le troupeau des soldats, des guerriers
boit en chantant et veille sans lumière passe le
Graal aux mains de
Bérangère la
Sainte
Lance et qui pleure du
Sang.
Perceval l'Anglais qui voyageait en
France
fut à dîner près d'un fleuve par chance.
Pendant le vin parut une madone
portant le
Graal et la
Lance du
Sang
comme un cortège et comme une soupière.
C'était la fille du logis
Bérangère
au bord du
Loir près d'un père vieillissant.
Le jour d'après pauvresse de forêt
dit à l'Anglais qui s'était égaré
«
Celui qui
Graal en or reconnaîtra « empereur roi au monde il deviendra.
«
C'était le
Graal et sang de
Jésus-Christ
« la lance était le
Sang et
Eau d'esprit. »
Mais
Perceval songeait à
Blancheflor
qui songe à lui brodant au château fort.
Renoncer à l'amour de
Blancheflor
et tourner bride au donjon de la berge !
Car le saint
Graal n'appartient qu'aux mains vierges.
Dieu l'Immortel est comme un miroir neuf
Son
Fils
Jésus est aussi beau que
Lui
De ce
Parfait chacun de nous est veuf entre naissance et la mort de l'oubli.
Sur nos charniers se pose le pied nu du
Fils de
Dieu notre
Seigneur
Jésus.
Je suis heureux de vous avoir connu !
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012