Poèmes

Port

par Raymond Queneau

Raymond Queneau

Le mur qui s'allonge et le toit qui plonge les bois tout pourris ne sont plus ici

La grue très oblique les porcs les barriques bien que disparus sont rien moins que vus

Ce bateau sans grâce près du ciel s'efface laissant le jour gris s'enfuir avec lui



Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012

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