Qui brûlent sous la mer.
Tout commence en ce lieu où l'un se change en l'autre.
Tout est en lui vécu.
Toute mort est ouverte à l'être essentiel présent dai toute mort.
L'être est pour elle en elle.
Elle est en lui pour lui.
Il n'y a pas autre part d'espace ni de temps.
Avant que d'être plus que ce qui se vivra.
Peut-être, dans l'absence de la gloire sans nom,
L'éternité est là.
L'éternité n'est là que pour être accomplie
Dans le secret natal de la similitude et de la différence.
Le silence est plus qu'une trace.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012