Tant que n'ira pieds en l'air, l'éléphant, qu'aucuns taureaux, ne se montreront sur le dos. nul bois de cerfs, à l'envers, bouvreuils perchés dans les racines, saumons aux
lunes, et vous sur les cheveux pointus, debout, — tels que des pingouins patinent dans l'or gelé du soleil!
Tant que les pas n'apprendront à se poser au plafond, et que ne sera l'orteil sorti par l'ongle du toit premier, prompt, tirant au feu jusqu'aux autres puits du dieu corps, ruche et terre
après soi !
Autant vous tiendra la mort
que n'aurez mis au revers quille au ciel, mâts sous la mer. et change l'arbre en castor*!
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012