Le premier de nos péchés est le mensonge,
Nous ne voulons seulement pas le croire
C’est lorsque l’on y songe,
Que s’en séparer n’est qu’un vulgaire espoir.
Il est utile dans notre quête du pouvoir,
D’en user comme s’il était essence
C’est ainsi que surgit la victoire,
Que nous sommes proie de l’apogée de la puissance.
S’il est fondateur de la liberté,
Celle-ci ne peut être pérenne
C’est alors avec assiduité,
Que l’on doit sans cesse briser nos chaînes.