Sans fin regarder poindre une seconde nuit
A travers cet inerte bûcher lucide
Que ne tempère aucune production de cendres.
Mais la bouche à la fin, la bouche pleine de terre
Et de fureur,
Se souvient que c'est elle qui brûle
Et guide les berceaux sur le fleuve.
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017