Patience, dis-tu, patience quand le soleil prolongeait l'ombre bleue de la malchance sous les branches du noyer
Patience, dis-tu, patience enfant liseur et moqué devant tes inadvertances
Dieu te bat pour t'éduquer
Patience encor patience ombre noire de l'Anangké voici morte l'innocence
Ellenore a trépassé
Patience encor patience tes examens sont manques il te reste l'insouciance sur la mer il faut t'embarquer
Te reconnais-tu, dit l'ombre vieil homme trop tendre et pervers ta jeunesse est en décombre voici les portes de l'enfer.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012