Et presque sans maison
Exilé des regards
Remonté de la source pour échouer au jour
Relié aux jardins
Ne trouvant pas les mots
Brûlant
Ne laissant rien filtrer de l'incendie
Caché dans le tronc même de l'arbre aux mille étoiles
Dévoré par le feu de l'amour qui dit non
Assis pour les festins de l'absence toujours
En larmes dès l'aurore sous les tambours du temps les fêtes de la mort
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012