Poèmes

Voie Obscure

par Georges Haldas

Tu écoutais la ville et sa rumeur lointaine
Une sourde lumière venait des profondeurs comme un
Noël caché dans le cœur de chaque homme
On oubliait les crimes la douleur les mensonges
Pour moi disait le grain mon royaume c'est l'ombre
Mais je suis à moi-même dans cette ombre un repère
C'est comme si la mort me passait au travers sans m'atteindre
Je vis ce que chacun espère



Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012

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