On ne cessait d'y boire
L'ivresse faisait mal avec ses murs toujours
Rien après les réveils que les mêmes feuillages
L'étendue de lait bleu sa douceur opiniâtre
Sous les voix le silence
Sous les pas le vertige
Jamais la vraie fenêtre au soir ne s'ouvrira
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012