Cela qui dans la parole scintille et se tait,
La nuit roule sur cet essieu,
Singulièrement la présence
Et la distance de cela qui nous rive
A sa quelconque effigie frauduleuse
Et s'exaspère dans les fleurs
Loin des piliers et des trombes...
A peine une leçon de choses obscures
Un viatique de poussières
Et sa dissipation...
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012