Il y en avait pour une raison ou une autre un quota de mots de trop. De quoi bâtir une centaine d’autres histoires semblables, probablement identiques…….. Tout miser sur son orgueil plutôt que sur son savoir faire !
Reste insondable l’expression. Gluantes grimaces.
Matière visqueuse de laquelle bourgeonne la vie.
Le mot, la goutte, la note… Silence, étouffe-cris, vide.
Reste les songes échafaudés auxquels on a refusé l’espace.
Jamais une nuit n’a envahi le jour.
La nuit n’est que le jour qui brandit son dégoût.
Il lutte un soir, demain soir, la honte d’être soleil.
Jamais, toujours, souvent pareil, il joue au sourd.
Fripouille et brigand s’extasient, mains cueilleuses.
Bouffonneries galantes, rien à glaner, rien à faire aussi.
Un seul, c’est drôle, il faut plusieurs ! Plusieurs au singulier !!