Poèmes

Fidélite Lointaine

par Georges Haldas

Je descends dans le puits artésien du grand doute
Je traverse une nuit pointillée par tous ceux qui furent là un jour demain n'y seront plus
Mais toi réduite au souffle toujours tu seras là
Toujours je cueillerai l'anémone le soir
Toujours je revivrai au bruit des pas, des voix
Toujours je redirai dans le gouffre : patience
Toujours je te verrai renaître de l'absence



Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012

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