Là où domine le noir,
Ce n’est que pour dissimuler le blanc
Si les couleurs semblent être un exutoire,
Elles n’ont pour nos passions qu’un caractère insignifiant.
Là où le vrai ne se traduit que par le chaos,
Il n’est en réalité qu’harmonie
Même si ce dernier n’apparaît qu’en un fardeau,
Sa nature relève de tout sauf d’une tyrannie.
Là où nous anime la peur,
Nous sommes source de pureté
La lumière recèle une noirceur,
Et dans l’ombre se cache une clarté.
Poème publié et mis à jour le: 28 May 2018