Plus pars que ne furent les roses
qu'apportèrent les
Paladins
des valets dont nul ne dispose
préparont d'étonnants festins
aux
Rois aux
Reines et aux
Nombres
cinquante-deux serfs du destin
Le feu du sol qui se révèle par la froideur des étincelles de ces lames d'or et d'argent tisse de métal et de laine on étendard se transformant en un torchon sali de
haine
Les rues désertes accomplissent la réalité des chemins le ciel flambe pour que rougissent les physionomies sans destin attendant l'heure qui approche de l'ombre que jette une
main
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012