Poèmes

Sur un Exemplaire de Shelley

par Paul Morin

Paul Morin

Ce que je dois au grand
Shelley
Ne peut être dit en paroles,
Ses vers divins, ses vers ailés
Comme un vol de colombes folles,
Furent les premiers compagnons
De mon inquiète jeunesse.
Flammes tragiques, clairs rayons
Et sanglots d'humaine détresse,
Ilya, dans ce livre étroit,
Toute la
Beauté, tout le
Rêve,
Et tout l'Amour, — et c'est pourquoi
Je vous le donne,
Geneviève...



Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012

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