Pervenche des mers et leur affidée,
Au métier des veines s'étend mon lacis.
Je trouble les faibles, j'irrite les forts.
La grotte où je tisse a la dimension
D'un pressoir à fruits exprimant sa soif.
Je suis la bonté, la pieuvre du cœur.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012