Ce jardin calme, peut-être ?
Avec ses arbres vieux
Sous lesquels il fait bon être
En fermant les yeux
Pour une sieste tranquille
Arrêtée
Balancée
Avant la renverses
Du temps,
Qui ramènera l'averse
Jusqu'à mes pieds
Déchaussés
Surpris
Mouillés
Marris.
19 janvier 1998
zadig 92000
Extrait de:
mon second recueil de poésie "Aux quatre vents 2"