Douleur de l'été pur
Maison légère
Les prés regorgent de soleil
Mais la vie est amère
Pourtant un seul salut et nous voilà partis pour d'heureuses galères
Douleur de l'été pur
Maison légère
*
Je construis la maison que nul n'habitera
Je construis la maison dont chacun rêvera
*
Donnez-moi sur la branche un oiseau à aimer
Et l'arbre grandira
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017