Sans roi sans droits non sans liesses
ma jeunesse qui s'efforce
de diminuer l'écorce
qui me sépare de toi
ma jeunesse qui s'impose
de ne trahir pas tes secrets
et tes triomphes moroses
et tes espoirs sans regrets.
Que tes douleurs m'importunent
mais les joies du
Paradis
à tes rires atterrissent
on les paie de sa fortune
je n'en eus pas un radis
Que devons-nous à ce
Grand
Capitaine qui vers le ciel mène son régiment c'est lui qui posa ce galon de laine de caporal sur mon humble dolman
Goethe en tricorne
Frédéric roi de
Prusse saltimbanque à qui l'or ne manque poètes russes la terre se doit à l'Inventeur des cieux le ciel se doit à l'Inventeur des terres à l'Esprit-Saint se doit aussi
la chair et notre esprit dont le
Sien est l'essieu
Mais toi conduit par les trous de misère au peu d'esprit qui t'était nécessaire instruit des lois par celles du trottoir regarde en haut
Ce
Guide et remercie d'avoir connu l'Espagne et l'Italie.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012