Tous ces chevaux du roi qui brûlaient leur avoine
En devisant communément sur le
Derby
A
Buckingham
Palace fumaient les vieux havanes
Que les docks déployaient sur
Londres sans penny
Archange des steamers où sont donc les savanes
De ces chevaux du roi qui brûlaient leur avoine
A
Charing
Cross tous les cargos faisaient relâche
Et démâtés leurs souvenirs avaient un goût
De miel mêlé aux tabacs gros et lourds qu'arrachent
Les poumons des marins humant je ne sais d'où
Archange tu roulais alors d'étranges bâches
Sur
Charing
Cross où les cargos faisaient relâche...
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012