Chair enfant de l'Amour, chair enfant de la
Foy
Souspir, hoste vanteux de l'humaine poitrine,
Rens fertile ma voix ; si ta fureur divine
D'un berger inoçent fit un profette-Roy.
J'ay battu le sentier de ta poudreuse loy
Et franchy par sept fois les bornes de ton hymne
Puisse je du
Seigneur estre fait nouveau
Cyne
Et voiler au séjour que j'haleine après toy.
La
Chair, l'Esprit, le
Monde environnent mon ame
L'aiguillon de la
Mort de tous costés m'entame
L'Enfer l'Enfer m'apelle et le
Ciel ne me veut
Je te prie
Seigneur sauve moy je te prie
Bénis,
Seigneur, bénis, bénis
Seigneur ma vie
Affin que ton
SALEUT sans fin soit mon saleut.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012