Oh ! la toujours plus rase solitude
Des larmes qui montent aux cimes.
Quand se déclare la débâcle
Et qu'un vieil aigle sans pouvoir
Voit revenir son assurance,
Le bonheur s'élance à son tour, À flanc d'abîme les rattrape.
Chasseur rival, tu n'as rien appris,
Toi qui sans hâte me dépasses
Dans la mort que je contredis.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012