À la première porte, il dit :
Il n'y a pas
Dieu derrière.
À la deuxième porte, il dit :
Mais un garçon est derrière.
À la troisième porte, il dit :
Mais une bête est derrière.
À la quatrième porte, il dit :
Il n'y a rien derrière.
Rien.
Il voulut l'ouvrir.
Elle ne se laissa pas faire.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012