Poèmes

Traversées

par Mohammed Dib

Tout ce qui fait chanter tout ce qui doit oublier.

Tandis que le fleuve se transporte nocturne.

Tout ce qui suit le vent et doit se séparer.

Sommeil sans paupières le vent qui doit tomber.

Le vent et son bruit l'unique voix étrangère.



Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012

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