Que je ne nommerai pas sinon
ma grande épine dorsale
mon empennée de chair
à travers la vacuité soyeuse
mon fort archange
tantôt bavard tantôt silencieux
mes
Guelfes et mes
Gibelins
ma monture d'éeuyère ou de senorita torera
ma torche
pour midi de maison hantée
ma vis sans fin
l'escalier qui me traverse de la cave au grenier
toi
l'aérienne
et de toutes la plus aiguisée
ma tour
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017