Sur nos têtes
l'espace finement zébré
et parfois le labour des courants d'air violents
Charge de nuages vivants horizon des épaules
A la ceinture
l'échevèlement des routes
les souches ensoleillées du cœur
Herbe
soif du sol laminé
vers la roche des genoux
Sous nos pieds morceau de ciel noirci l'ombre que nous découpons
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012