Douces mains désertées par le lierre et l'ivresse
Une obscure tournée
Et ces coups réguliers sur un étui d'ébène
Dans la chambre envahie le corps seul
Un soleil rutilant sur la rade
Des étoiles sereines
Et sur la tête en sang un souvenir à peine résigné mais joyeux
Au port une sirène
Un papillon qui erre innocent sur les yeux
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012