J'appelle les amours qui roués et suivis par la faulx de l'été, au soir embaument l'air de leur blanche inaction.
Il n'y a plus de cauchemar, douce insomnie perpétuelle.
Il n'y a plus d'aversion.
Que la pause d'un bal dont l'entrée est partout dans les nuées du ciel.
Je viens avant la rumeur des fontaines, au final du tailleur de pierre.
Sur ma lyre mille ans pèsent moins qu'un mort.
J'appelle les amants.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012