Elaucés ils s'enlacent, l'amour et la comparaison !
L'amour compare la comparaison qui aime louer avec des anaphorcs
et la lyre saphique tisse l'incomparable beauté des bords^ à contre-jour d'une éclipse de l'Etre
(or m'éloignant en barque de l'île-hôtcl
— aube que tu saluais à la fenêtre d
Udaïpur —
nous n'étions pas sortis du conte
mais protégés, édifiés même
par une constante de
Propp plus belle
que les trophées photoscopiques)
Ce sera toujours trop tôt toujours trop tard donc c'est maintenant le
trop tardif et trop prématuré adieu
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012