La vie est un vaste atelier
Où, chacun faisant son métier,
Tout le monde est utile.
On agit d'un commun effort,
Et du faible aidé par le fort
La tâche est plus facile.
Battons le fer, etc.
Dieu du travail,
Dieu de la paix,
C'est à l'œuvre que tu parais :
Le feu, ta main l'allume.
L'ouvrier voit, dès son berceau,
Ta grande main sur le marteau,
Ton genou sous l'enclume !
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017